contes et récits de voyages

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Le conteur :

Dans ses spectacles, Derek adapte pour la scène la tradition du passeur d’histoires. Une scène qu’il a pour objectif de faire disparaître, pour qu’elle devienne un comptoir de bar, un coin de cheminée, une chambre, une voiture… Loin des grands effets spectaculaires qui brident l’imaginaire, le public est guidé, par des mots, à travers la mémoire collective, pour que chacun se fasse son propre décor. « J’admire les conteurs comme Mike Burns, Jihad Darwiche, ou Robert Seven Crows, capables de captiver l’attention de tous pendant des heures, juste par leur voix, par eux-mêmes, avec honnêteté. Quand je vais voir un spectacle de contes, je ne vais pas seulement écouter des histoires, je vais partager l’univers d’un autre. »

Le musicien :

Pianiste en un premier temps, Derek a vite compris la difficulté de traîner son piano dans ses bagages. Il s’est donc tourné vers un instrument plus léger, moins fragile : la scie égoïne. Instrument traditionnel des conteurs canadiens, Derek a débuté en jouant dans les rues des villes d’Europe. « C’est un excellent moyen d’entrer en contact, car peu de gens connaissent cet instrument. Il interpelle et me permet de communiquer même si on ne parle pas la même langue ».

L’éducateur :

À travers ses voyages, Derek s’est orienté vers l’animation, l’éducation et l’insertion sociale; toujours avec l’envie de rencontrer, de partager, d’aider. Souvent dans des conditions difficiles, il a travaillé pour des hôpitaux, des écoles et des centres spécialisés s’inspirant des paroles d’une conteuse du Québec: « Pour être un bon conteur, il faut vivre. »

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